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Et si le fait d’utiliser un extranet « spécial Franchise » ou « Franchise software » vous permettait d’éviter des procès couteux qui mettent en péril votre développement ?

 « Un procès, c’est souvent un billet de 40 000 à 50 000 euros à la fin car il est très difficile de prouver qu’on a fait notre travail de Franchiseur qui consiste en un millier de petites choses réalisées tous les jours pendant plusieurs années par une multitude de collaborateurs du siège au quotidien » déclaraient ensemble un célèbre avocat et le D.G d’une enseigne cliente devant nous. « L’utilisation de notre plate-forme 100% Franchise nous a fait réaliser une sacrée économie. Finalement, on avait souscrit sans le savoir un complément d’assurance incendie en plus d’un accélérateur de croissance ! » avouait ce même D.G.

 

Ainsi, l’utilisation de notre franchise software a permis récemment à plusieurs franchiseurs d’économiser plusieurs dizaines de milliers d’euros devant les tribunaux.

Comment ? Pourquoi ? On vous en dit un peu plus en quelques lignes.

De plus en plus d’enseignes de Franchise font le choix d’utiliser un véritable « Franchise Software », c’est à dire une plateforme collaborative qui rassemble au même endroit toutes les fonctions habituellement proposées sur plusieurs outils séparés : un extranet, un forum, un annuaire, une gestion de projet collaborative, un manuel opérationnel en ligne, des cours en elearning, un CRM candidat, un outil d’audit et de suivi des implantations, des outils de reporting, des sondages et des quizz, …

Qu’ils soient le résultat de développements internes souvent très coûteux ou proposés plus simplement sous la forme d’abonnement par Franchise On Cloud, ces solutions informatiques ne servent pas uniquement à ouvrir plus de points de vente et leurs donner tous les moyens pour réussir.

Dit autrement, un « Franchise Software » n’est pas uniquement un instrument pour assurer votre succès, il peut aussi vous aider à éviter le pire : des procès couteux avec vos franchisés.

On le sait, la perte d’un procès peut remettre en cause le développement d’une enseigne en cours de développement compte tenu des sommes à débourser et des impacts sur la trésorerie de la tête de réseau.

Le fait de réunir toutes les fonctionnalités nécessaires au métier de franchiseur sur un même outil permet de tracer l’ensemble de la relation entre la tête de réseau et le franchisé, depuis son recrutement jusqu’à son accompagnement au quotidien, en passant par la formation et le savoir-faire transmis.

La plupart des procès intentés aux Franchiseurs sont initiés par des franchisés qui ont échoué. En effet, devant l’échec, il est tentant de reporter la faute sur le franchiseur. La jurisprudence, par ailleurs, est largement favorable aux franchisés et s’appuie sur une législation déjà assez protectrice.

Deux axes d’attaques sont souvent utilisés par les avocats des franchisés: prouver que le franchiseur a mal accompagné le franchisé et a manqué à ses obligations, ou que le contrat liant le franchiseur et le franchisé est entaché de nullité, ouvrant ainsi la voie à sa résiliation.

Le premier cas porte sur la vie quotidienne au sein du réseau: la transmission d’un savoir-faire, la bonne transmission de ses mises à jour, la formation, les comptes-rendus de visites accompagnés des préconisations…

Le deuxième porte souvent sur la phase de recrutement du candidat et sa partie pré-contractuelle : la signature du contrat est-elle bien intervenue 21 jours après la signature du D.I.P, le D.I.P était-il complet, est-ce bien le bon document présenté qui a été signé à cette date ?

Il faut l’avouer, il est difficile de retrouver la preuve et la trace de tous les échanges avec le franchisé quand survient un procès. Les réflexes sont partout les mêmes dans toutes les enseignes. On demande à tous les animateurs de retrouver les mails envoyés, les preuves de visite … Tout s’arrête au niveau de la tête de réseau devant la panique.

On ne retrouve toujours qu’une infime partie de ces échanges qui portent d’ailleurs souvent sur des périodes où la relation s’était déjà détériorée entre franchiseurs et franchisés. Ces recherches prennent du temps. Or ce temps est crucial et joue contre le franchiseur. En effet, beaucoup de choses se jouent dans la phase pré-contentieuse où chacun jauge et évalue ses propres armes juridiques, tous comme les arguments de la partie adverse. Chacun doit montrer ses muscles le plus tôt possible.

Franchise software - éviter un procès

Que s’est-il passé pour ces enseignes utilisant Franchise On Cloud ?

Il a fallu à peine 2 jours pour envoyer au conseil juridique du franchisé la somme des éléments prouvant sur  3 ans la réalité des actions mises en place par le franchiseur, à savoir :

  • un manuel opérationnel disponible en ligne 24h/ 24 que le franchisé à consulté uniquement à 4 reprises malgré les 25 mails qui annonçaient des mises à jour et qui contenaient des renvois direct vers les paragraphes modifiés
  • 67 actualités lues seulement 12 fois par le franchisé et jamais commentées
  • 15 visites précisément datées avec 15 comptes rendus de visite consultés par le Franchisé en ligne, assortis de recommandations et manquements que le franchisé a validé comme ayant été résolus
  • La preuve d’échange dans la phase de recrutement de candidature où le candidat ( via questionnaire en ligne) présente les atouts de sa candidature et les sujets où il est le moins compétent (mis en comparaison avec la thématique de la formation initiale qui portait sur ces sujets)
  • La preuve du bon document D.I.P signé au bon moment par la bonne personne grâce au module de signature électronique de document intégré
  • La preuve de l’accompagnement à l’ouverture via la lecture de l’espace gestion de projet des ouvertures où chaque collaborateur et le franchisé coche la réalisation des tâches nécessaires
  • Les échanges via la messagerie interne entre tous les collaborateurs du siège et le franchisé
  • La preuve des 13 modules d’elearning suivis par les salariés du franchisé, avec le détail du temps passé et les résultats obtenus avec leur évolution sur plusieurs mois
  • Les 42 quizz et sondages où le franchiseur demandait l’avis de ses partenaires franchisés sur différents sujets essentiels allant de la communication au référencement de fournisseurs, en passant par l’étude qualité de son service animation
  • Les 22 challenges commerciaux proposés auquel le franchisé n’a jamais pris part
  • La traçabilité complète des pages consultées en ligne sur les 3 ans par le franchisé indiquant le peu d’effort fait pour actualiser le savoir-faire, transmis pourtant régulièrement par le franchiseur

Le résultat a été rapide. Le franchisé et son conseil ont pris la mesure des arguments du franchiseur et la somme des preuves des différentes occasions quasi-quotidiennes d’échange en direction des franchisés, d’accompagnement de ces derniers et de prises en compte de leurs avis. Il n’y a jamais eu de procès intenté par le franchisé et deux autres franchisés menaçant des mêmes poursuites ont abandonné leur projet.

Ces formidables outils ne trahiront jamais la réalité. Ils ne permettront jamais à un franchiseur malhonnête de travestir les faits et d’inventer un accompagnement qui a manqué.Tant mieux.

Mais ces « franchise software » sont des outils efficaces pour clore ou limiter les conséquences d’un procès pour les nombreuses têtes de réseau investies et honnêtes qui font la fierté des belles marques qui grandissent chaque jour au bénéfice de tous et qui font la fierté du secteur du Commerce Organisé tout entier.